Hola gringo ! Si tu lis cet article, c’est que tu es peut-être intéressé par une prochaine virée au Mexique dans la péninsule du Yucatan. Car oui, il faut l’avouer, cette région est bien la plus touristique du pays, mais aussi la plus sûre (on tient à te rassurer d’emblée !). Ou alors, tu es tombé par hasard sur cet article après avoir passé ta journée de travail ou ta soirée à surfer sur le net, entre deux pauses clope et la recherche sur leboncoin du dernier album de Johnny (RIP). Bref, peu importe comment tu as atterri là (n’hésite pas à partager ce billet merveilleux sur les réseaux sociaux), je vais te présenter ici mes 15 jours de road-trip à travers le Yucatan en compagnie d’Anaïs. Tu as 5 ou 10 minutes à perdre ? Cale bien tes fesses dans un fauteuil et mets tes lunettes.. tu vas avoir mal aux yeux 🙂
La péninsule du Yucatan : cénotes, grands espaces et sites mayas à la pelle
On ne va pas tourner autour du pot 107 ans, le Yucatan c’est LA région la plus visitée du Mexique. Aussi, on ne sait pas pourquoi, tu auras plus de chance d’entendre parler français ou d’y croiser ton voisin Michel que dans tout autre pays d’Amérique du Sud. Nous qui pensions passer 15 jours en immersion totale à n’entendre que du Hola et du Qué tal ?, c’est loupé. Soit.
Revenons-en à nos moutons, ou plutôt à nos mayas et playas. Le Yucatan, c’est une péninsule qui concentre la majeure partie des attraits touristiques du Mexique. Composée de 3 régions (le Yucatan, Campeche et Quintana Roo ; attention, n’allez pas confondre ici avec le petit cycliste professionnel colombien hein ;-)), cette partie du pays regroupe à elle seule de magnifiques plages de sable blanc, des eaux turquoises, des cénotes extraordinaires, des sites archéologiques mayas majestueux, des réserves naturelles sublimes, et des villes aux édifices et façades colorées. Bref, les possibilités y sont telles que tout le monde ou presque y trouvera son compte, entre le bon gros américain amateur de farniente sur la plage, le baroudeur amoureux de la nature, le féru d’histoire ou l’assoiffé de découvertes aquatiques.
Le Yucatan, c’est en général la région visitée la plus fréquemment citée lors de tout premier voyage au Mexique. Et quand on sait que ce territoire est 1.5 fois plus grand que le Portugal, ou qu’il représente à lui seul près de 22% de l’Hexagone, il y a de quoi faire dans toute cette immensité. Mieux vaut donc s’organiser et prévoir à l’avance un itinéraire pour optimiser au maximum le temps passé sur place (j’avoue, mais n’allez tout de même pas me jeter la pierre, cette partie « incombe » davantage à Anaïs…). Voici donc spécialement pour vous, et parce que je sais que vous ne pourriez pas vivre sans vous aimeriez connaitre les étapes de notre road-trip mexicain, notre parcours de 15 jours.
Note : chaque activité ou lieu précisé dans les lignes qui vont suivre feront l’objet d’un développement dans des articles spécifiques.
Arrivée à Cancun et récupération de la voiture de location
Le vol Air France (809€ A/R par personne), direct, que nous avons pris le 17 novembre 2017 à 12h30 à Paris CDG, nous a fait atterrir à Cancun à 17h15 heure locale (durée du temps de vol : 11 heures). Première péripétie à la descente de l’avion. Nous partons récupérer nos bagages sur les tapis roulants. C’est la queue (comme d’hab), tout le monde joue des coudes pour récupérer sa précieuse valise (comme d’hab), mais c’est le jeu, et puis c’est le début des vacances donc relax !! Sauf que relax, on ne va pas le rester très longtemps.
Les minutes s’égrènent en effet, et chaque voyageur repart petit à petit avec son précieux sésame. Mis à part nous, et quelques autres bons bizuts 🙂 En effet, certains individus (des Einstein très clairement) ont cru bon de sortir certains bagages du plateau roulant et de les poser dans un coin.. vous savez, ce petit coin tout au bout du tapis que l’on ne peut voir que si l’on attend là.. Après avoir poireauté une bonne trentaine de minutes, la foule des voyageurs s’éclaircit, et une dizaine de valises/sac/bagages déposés en un « mignon » petit tas s’amoncellent ici. Premier repérage, rien. Second passage, mes yeux de lynx (ou pas) trouvent notre petit Quechua de 60L qui commençait à s’ennuyer de mes épaules. Merci Jean-Pierre de l’avoir pris et laissé là, on a perdu une demi-heure grâce à cause de toi ! Puis, direction la sortie. Dehors, ne soyez pas étonnés, une ribambelle d’agents avec pancartes attendent le gringo. Repérez le nom ou le logo de l’agence via laquelle vous avez réservé votre voiture, et attendez que le mini-van vous prenne. En 5 minutes, nous nous retrouvons au siège du loueur Thriffty, et nous faisons l’apprentissage de ce qui va vite devenir une habitude, une contrainte, un ras-le-bol au cours de notre périple au Mexique : laisser un tips, une propina comme ils l’appellent, bref un pourboire pour tout service rendu… ici en l’occurrence, au chauffeur.
On récupère la voiture (on vous expliquera dans un prochain article comment s’assurer que votre auto est complètement OK), on enclenche Maps.me, et on commence à rouler direction Akumal (côte Est). Il est 20h00, c’est la nuit, et je suis au volant d’une voiture que je ne maîtrise pas encore, dans une ville inconnue, au milieu d’une circulation dense. Champagne ! Outre des appels de phare récurrents (qu’est ce qui y’a Pépito, tu veux que je sorte et qu’on entame une partie de lucha libre -catch mexicain- :-)), je fais également la connaissance des topé (on y reviendra aussi prochainement). 1h30 et 105 km plus tard, on arrive sur notre premier lieu de couchage, à Akumal Natura (un établissement situé en pleine nature à 800 mètres à peine du centre-ville).
Jour 1 : baignade en compagnie des tortues marines à Akumal et visite du site archéologique de Cobá
Réveil matinal, vers 7h, puisque nous décidons d’emprunter deux vélos à l’hôtel pour nous rendre à la plage. Akumal, c’est un petit village de pêcheur qui ne doit sa renommée qu’à la présence de tortues marines. D’ailleurs, vous pourrez lire sur le net tout un tas de choses à leur sujet.. Oui ! Nous nous sommes laissés tenter par une baignade en leur compagnie, mais nous avons toujours pris soin de bien respecter les consignes notifiées sur les panneaux à l’entrée et sur la plage concernant leur observation. On reste en tout et pour tout 30 minutes dans l’eau puis on enfourche de nouveau nos bicyclettes pour rejoindre le cénote de l’hôtel. Premiers moments de relaxation 🙂
L’après-midi est consacrée à la visite du site archéologique de Cobá. Je fais connaissance avec les interminables routes en ligne droite mexicaines.. Près de 70km séparent Akumal de Cobá, c’est dire. Pour garer la voiture sur le parking du site, il en coûte 50 pesos (un peu plus de 2€). L’entrée générale en elle-même nécessite de se délester de 70 pesos. Les ruines de Cobá sont les premiers vestiges archéologiques de la civilisation maya que nous admirons. Le lieu est relativement étendu et plat, donc plusieurs solutions s’offrent à vous : prendre vos petites jambes et marcher, louer votre propre vélo, ou laisser pédaler votre chauffeur qui vous transportera sur un triporteur. A vous de deviner quelle option nous avons choisi ?! Tout au bout se trouve la grande pyramide (Nohoch Mul), que l’on peut escalader pour bénéficier d’une belle vue sur l’ensemble.
Jour 2 : une belle excursion sur le papier, mais qui nous laisse un goût amer
Ayant passé la nuit à Tulum à l’hôtel Uolis Nah, nous avions rdv avec Lia Evans, notre guide, à 10h30 pour une journée excursion. Au programme, la rencontre et le déjeuner avec une famille maya, l’observation de singes araignées et singes hurleurs, tyrolienne, kayak, et baignade dans le cénote de la réserve de Punta Laguna (avec cérémonie chamanique afin de pouvoir pénétrer et nager « avec l’accord des dieux »; en effet, ce cénote est un des seuls à notre connaissance où vous pourrez admirer des crânes et des os humains au fond).
Outre le prix (2200 pesos, soit 97€ par personne) et le fait que nous avons du prendre nous même notre voiture (avec Lia à l’intérieur) pour effectuer cette sortie (soit 120 km aller retour tout de même), nous avons eu le sentiment que le tour proposé par cette franco-anglaise était surfait. De plus, ses blagues pas drôles ont eu raison de ma patience légendaire. Notre gros point noir du voyage..
Jour 3 : Tulum, une ville branchée dotée d’un vestige maya en bord de mer
Après Cancun et Playa del Carmen, Tulum tient très certainement la 3ème place des lieux fréquentés par les touristes sur la côte Est du Yucatan. Cette ville, devenue le repère branché des mexicains aisés, tient en effet une place de choix dans un périple yucatèque. Le site archéologique situé au bord des falaises, face aux eaux turquoises de la mer, ainsi que ses kilomètres de plage de sable blanc en font un environnement grandiose. L’entrée sur ce pittoresque site maya est raisonnable : 70 pesos par adulte. Ici, ni grosse pyramide, ni palais immense, mais plutôt des ruines couleurs gris cendre qui font face à la mer des Caraïbes. Un chemin longe d’ailleurs tout le littoral, et 4 plages sont directement accessibles depuis le site. Si vous décidez de poser la serviette sur la dernière, la plus grande mais aussi la plus éloignée, vous aurez la possibilité d’aller faire un tour en bateau au loin, sur la deuxième plus grande barrière de corail du monde. Apparemment on y a même pied, puisque, nous a t-on dit, c’est à peine profond de 1m à 1m 50. A vérifier. Notez que bon nombre de personnes sur la plage vous accosteront pour effectuer ce tour, d’une trentaine d’euros environ, mais nous ne l’avons pas réalisé.
Nous passons l’après-midi au Gran Cenote de Tulum, sur la route de Cobá. Mais, attendez, j’en vois qui fronce les sourcils à chaque fois qu’ils lisent ce mot dans l’article. Une petite précision s’impose Jamy ! Un cénote, c’est un phénomène géologique unique au monde : il s’agit tout simplement d’une réserve d’eau douce naturelle souterraine, ouverte, semi-fermée ou complètement fermée. Ici, c’est 180 pesos par adulte et la douche est obligatoire avant d’entrer dans l’eau. Le lieu est très bien aménagé, avec casiers de consigne pour les affaires, hamacs et pelouse artificielle sur l’extérieur. L’eau y est incroyablement pure, turquoise même par endroit. Vous pourrez y voir des petites tortues nagées au milieu de la nuée des touristes. Car oui, le site est victime de son succès. Fermeture à 16h45. Puis on file vers Bacalar, en conduisant de nuit. Une véritable expérience.. nerveuse. On en parle d’ailleurs dans notre billet sur la conduite au Mexique.
Jour 4 : la lagune de Bacalar et le Cénote Azul
Bacalar, c’est une des dernières villes avec Chetumal que l’on rencontre avant d’arriver au Belize. Assez peu fréquentée par les touristes, cette petite bourgade calme située au bord d’un lac immense se compose d’eau à la fois douce et salée. Les différents tons bleus du lieu lui ont d’ailleurs donné son nom : la lagune aux sept couleurs. Chanceux, l’hôtel dans lequel nous logeons (Nido del Quetzal) offre une heure de kayak. On en profite dès le matin. De retour vers 10h, et quelque peu rougis par la réverbération du soleil sur l’eau, nous partons nous baigner dans le lac en empruntant l’accès d’un ponton non privé.
Non rassasiés par cette énorme étendue d’eau qui s’offre à nous, le Cénote Azul nous tend les bras l’après-midi pour à peine 25 pesos. Imaginez un trou de 90 mètres de profondeur ; il en faut du souffle pour toucher le fond et remonter 🙂 On fait trempette un bon moment et on reprend la route, encore et toujours, direction Xpujil et l’éco habitat de José. Peu de temps avant d’arriver, nous appréhendons le premier barrage militaire de notre road-trip. Moi qui m’apprêtais à sortir une bonne blague à l’agent au moment de baisser la vitre, celui-ci me sort un laconique Adelante.. Circulez y’a rien à voir !
Jour 5 : réserve naturelle et zone archéologique de Calakmul
Aujourd’hui, nous avons pour objectif de visiter Calakmul, une cité préhispanique située en plein cœur de la jungle. La route est longue pour y arriver, et nous décidons de mettre le réveil à 5h pour pouvoir petit-déjeuner à 5h30 au sein du petit restaurant tenu pas loin de notre habitation par José et sa femme. On s’installe. Il y a d’autres gens (sûrement des routiers). Parfait. José arrive et nous demande comment s’est passée la nuit. « Bien », mentons-nous à cause du bruit fracassant que font les dizaines de poids lourds quand ils redémarrent de la station essence située non loin. Puis, vient la question de l’heure que nous avons sur nos téléphones. « 5h30 amigo » ! Or, le gérant nous annonce qu’en fait, dans cette partie du pays, il y a un décalage horaire d’une heure. En moins bien sur. La poisse ! On aurait pu « dormir » 60 minutes supplémentaires..
Pour découvrir la « cité perdue de Calakmul », il vous faudra passer quelques check points, rouler à 30km/h pendant 40 kilomètres, et faire attention au nombreux nids de poule qui jonchent la route. Mis à part cela, si vous partez de bonne heure, vous aurez peut-être la chance d’arriver les premiers sur site. Ce fut le cas pour nous. La réserve abrite d’innombrables bestioles (oiseaux, serpents, singes, chats sauvages..), mais elle accueille surtout de gigantesques pyramides. Les édifices 1, 2 et 3 sont les plus hauts. Ils vous permettent de surplomber la canope. C’est tout simplement magique.
Jour 6 : Campeche, une cité coloniale fortifiée
Lorsque l’on arrive sur Campeche en provenance d’Escarcega, le choc visuel est impressionnant. Avec ses fortifications (même s’il ne reste aujourd’hui que quelques morceaux de la muraille qui entourait jadis la vieille ville), son centre historique inscrit au patrimoine mondial de l’humanité, ses ruelles étroites, ses maisons coloniales, ses façades colorées, ses balcons en fer et ses nombreux patios, la cité joue de l’image de son passé colonial à merveille.
On déambule dans ses rues au gré de nos envies et des couleurs pastels qui attirent nos regards. Ce qui nous amène à poser nos fesses au Marganzo, un restaurant certes touristique, mais où les serveuses sont habillées en tenue traditionnelle. Note : la margarita est offerte en apéro ! A savoir : il n’y a vraiment que le cœur historique de la ville qui vaut le détour ; ce dernier se visite d’ailleurs facilement à pied en peu de temps. Pour les amateurs (ou les faignants), un petit train touristique vous fera faire le tour de la cité en 45 minutes.
Jour 7 : Uxmal, la petite sœur de Chichen Itza
Après avoir quitté Campeche la veille en fin de journée, nous arrivons le soir à Uxmal. L’immense hacienda (située en bord de route) dans laquelle nous avons réservé notre logement est à 5 minutes à pied à peine du site archéologique. Sachant qu’un spectacle son et lumière y est projeté à la nuit tombée, nous nous hâtons de prendre les clés pour déposer les bagages et nous filons. En soit, nous ne vous conseillons pas forcément d’y assister : l’entrée est à 94 pesos par personne, et à ce prix on s’attendait à une animation plus aboutie. Durant 45 minutes, installés sur une chaise en plastique, un discours en espagnol est conté (attention, il n’y a pas d’audioguide) sur l’histoire et les croyances mayas. Mais rien de folichon.
Le lendemain matin, direction le site d’Uxmal pour une matinée de visite. Pour passer, il nous en a coûté 140 pesos (prix de l’entrée sur la zone archéologique) + 306 pesos (prix de l’admission générale). A noter : il vous faut obligatoirement ces deux tickets. Des guides se trouvent à l’entrée, et certains sont même à vous attendre à l’hacienda si vous désirez découvrir le site avec eux et avoir leurs explications. Uxmal, ce sont des monuments caractéristiques du style Puuc, avec de nombreuses frises et représentations du Dieu de la Pluie, Chac. Nous y rencontrons au bout d’un moment une française à qui nous demandons de nous prendre en photo. On commence à discuter. Il s’avère qu’elle gère une agence évènementielle de tourisme avec son mari sur Cancun (mexicofinder.com), et c’est l’occasion d’échanger nos bons plans. Nous restons environ 2h30 sur place, avant de partir vers Santa Elena, où il n’y a rien d’exceptionnel à voir. On mange sur le pouce et on reprend la route de plus belle pour se rendre à Labna sur la route Puuc. C’est encore et toujours un autre site archéologique (croyez-nous, après ce périple mexicain, on pourrait se reconvertir archéologues), mais celui-ci est tout petit. Entrée : 50 pesos par personne. Toutes ces visites nous ayant épuisé, la piscine de l’hacienda sera notre exutoire de fin de journée.
Jour 8 : Baignades aux cénotes Xbatun et Dzonbacal, puis arrêt express sur Mérida
Sur le chemin pour rejoindre Mérida, on fait une halte à San Antonio Mulix, où nous comptons bien profiter de la fraicheur des deux cénotes présents : Xbatun et Dzonbacal. Avant d’entrer sur le site, via un chemin en terre et caillouteux, il faut s’arrêter acheter les tickets dans une maison bleue sur le bord de la route. Pour info, on l’avait ratée lors de notre passage 😉 Prix : 150 pesos pour deux. Les deux cénotes sont distants l’un de l’autre de 800 mètres. Et nous sommes encore une fois…. les premiers du jour. Rapidement arrivent des suisses, avec qui nous prenons aussi plaisir à échanger.
Avant que s’amoncellent les vans de touristes, nous plions bagage, direction Mérida. L’entrée dans la ville se fait au milieu d’une circulation dense. On gare la voiture dans un stationnement public (il faut rentrer à l’intérieur de « blocs », car il n’existent pas, ou très peu, de places en extérieur ; impossible de les louper, il y en général des gardiens postés devant). Un menu du jour englouti au Trapiche (soupe, poulet yucatèque et agua jamaïca pour 60 pesos seulement), on visite ensuite la ville au gré de nos envies et pérégrinations. On ne se hâte pas : on sait que nous y revenons le lendemain.
Voilà, la première partie de notre road-trip au Mexique s’achève ici. La deuxième moitié du séjour fera l’objet d’un autre article. Ce billet aurait sans doute été interminable à lire (et à écrire) si nous avions tout résumé ici. N’hésitez pas à nous poser vos questions et à commenter notre parcours : nous essaierons de répondre à toutes vos interrogations. See you soon les amigos.
Bonjour depuis 20 ans je vais au Mexique à Tulum pour en général 2 mois; j’y retrouve ma fille qui y est installée depuis 22 ans ; j’ai lu et apprécié votre voyage, j’ai fait bien sur les mêmes découvertes et j’ai apprécié les mêmes choses !!!! si vous devez revenir à Tulum, je vous recommande la « Villa Flores de Mayo » chambres d’hôtes tenues par ma fille Myriam , au milieu d’un parc, au milieu de la nature à 500 m du centre de Tulum ; Que du bonheur.
Au plaisir de lire la suite …….
Bonjour Maryse et merci pour votre sympathique message.
Je ne pense pas que nous reviendrons de si tôt au Mexique, mais nous prenons note (ou tout du moins aussi pour des amis qui seraient potentiellement intéressés par une visite de Tulum).
La deuxième partie de notre voyage est presque finie d’être écrite ! 😉
encore merci pour pour l’article 😉
Bonjour Betty.
Merci pour votre commentaire. C’est avec plaisir que nous l’avons écrit. J’espère qu’il pourra vous inspirer si, un jour, vous décidiez de vous lancer dans une aventure mexicaine 😉